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Chez le Gynécologue

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Sandy s’était réveillée dans une chambre baignée de soleil. Elle remua doucement la tête sur l’oreiller et fut soulagée de constater que son mal de tête avait complètement disparu. Son cou était un peu tendu et elle se sentait fatiguée. Elle se leva doucement et abaissa la clenche de la porte pour remarquer une maison vide. Le couloir était désert ainsi que la chambre de ses parents. A pas lents, elle regagna sa chambre et s’assit sur son lit. Pensivement, elle inspecta la chambre spacieuse. Un cadre discret et charmant, fruit d’un luxe auquel elle était trop habituée. Une toilette complétait l’ensemble accompagnée d’une autre pièce lui servant de dressing.

Aujourd’hui,  elle avait rendez-vous chez son gynécologue pour un « check up », et cela ne lui plaisait pas d’y aller seule. A sa sortie d’une douche froide, son téléphone vibra : sa mère lui rappelait l’heure à laquelle elle devrait être au cabinet. Elle souffla tout en espérant que son copain, Lorintzo Jacquet veuille l’y accompagner une énième fois. Et ce dernier, comme d’habitude, ne se fit pas prier. Il savait que Sandy n’aimait pas les gynécologues, les pédiatres, enfin bref, elle détestait l’hôpital. Elle passa la première robe discrètement échancrée qui semblait cousue pour elle, et enfila ses ballerines. Sa montre marqua huit heures. Lolo n’allait pas tarder.

Le couloir était toujours désert, comme l’escalier qui descendait vers le grand hall du rez-de-chaussée. Une jeune fille, occupée à épousseter un bibelot, lui souhaita le bonjour. Une omelette l’attendait sur la table accompagnée d’un verre de jus de citron. Agréable façon de commencer une journée, pensa-t-elle.

Quelques  minutes après, elle essuyait son assiette lavée lorsque la sonnette de la barrière sonna. Adriana, leur aide-ménagère, alla ouvrir. Attrapant son petit sac, elle fila au salon, ne remarquant  pas sa robe siégeant au haut de ses fesses.

  • -Si l’envie d’une exhibition te prend chérie, faudrait trouver quelque chose de plus sexy, entendit elle derrière elle.
  • -Je te promets que tu seras mon seul client. répondit elle, tout sourire, se lovant dans les bras de son chéri.
  • -Prête ? demanda-t-il en lui gratifiant d’un baiser.

Elle hocha la tête, et sourit en sentant les mains de Lorintzo glisser sur ses fesses et ajuster sa robe.

Immobile, elle observait le trafic. Lovée dans le siège passager, Sandy passait et repassait ses mains dans ses cheveux bouclés relâchés. Plusieurs automobilistes ralentissaient à la hauteur de la CR-V[1] de Jacquet, pour lui gratifier d’un clin d’œil ou de baisers. Lorintzo devait avouer qu’il avait trouvé la perle rare, une fille aussi discrète que belle, aussi intelligente que gentille, aussi perverse que n’importe quelle femme de joie. Elle était le cocktail de la femme idéale selon lui. Et dans quelques années encore, elle sera enfin sienne, sa femme a lui.

Tout en y pensant, il glissa sa main sur la cuisse de sa compagne.

 

  • -Madame Sandy Jacquet … cela sonne bien tu ne trouves pas ?

Une bouffée de chaleur lui rosit les joues au son de la voix grave de Lorintzo. Quel charmant garçon … Elle doit s’avouer  que personne ne l’avait autant attirée que ce beau noir, au sourire charmant et charmeur assis à ses côtés. Il est son premier homme, celui qui a su  faire tomber une à une ses nombreuses barrières. Celui dont elle est follement amoureuse depuis bientôt deux ans. Elle avait prié jour et nuit pour ne pas avoir beaucoup d’hommes dans sa vie, et Dieu avait, dans sa grâce infinie, exaucé ses prières. C’était le bon. Elle en était sure.

L’inquiétude assombrit de nouveau ses traits à l’approche de la grille de la clinique. Elle soupira.

  • -Chérie, n’aie pas peur, ce n’est qu’un rendez-vous de rien du tout. En plus, je suis là, comme le futur mari que je suis déjà.

Elle sourit, et passa sa main sur la nuque de Lorintzo et l’attira à elle pour un long baiser.

  • -Je crois que je deviens encore plus folle de toi jour après jour … dit-elle dans un souffle. Je remercie déjà le Bon Dieu de t’avoir mis sur ma route.

Sur le parking, les arbres procuraient une ombre discrète, et un bon vent s’engouffrait à  l’intérieur de l’auto. Le moteur arrêté, Jacquet s’était repoussé en arrière, paumes sur le volant.

Il leur restait une bonne demi-heure d’attente… Un patient se hâtait sur la cour, vers le grand bâtiment. Lorintzo laissa tomber sa main droite sur le levier de vitesse, il admirait les jeux d’ombre des feuilles sur les jambes de la jeune femme. Elle ne portait ni jupons, ni collants. Ses jolies ballerines se laçaient selon un schéma croisé autour de ses chevilles…

  • -On en aura le temps … dit-il pour lui-même.

Sandy n’écoutait pas un traitre mot de ce qu’il disait. En cours de route, la robe de sa passagère avait remonté jusqu’à mi-cuisse. La main de Sandy triturait nerveusement l’ourlet de coton.

Plus fort que le gaz d’échappement des voitures du parking, l’odeur suave de la jeune femme emplit l’espace de la voiture.  Un parfum  de fleurs. Il ferma les yeux dans la demi-obscurité. Sa main droite se détendait sur sa cuisse nue pendant que l’autre remontait doucement, une à une, les vitres tentées. Sa jolie robe entrouverte sur la bride d’un soutien-gorge noir. Lorintzo devina qu’il s’ouvrait par devant.

La scène du salon lui vient à l’esprit, lui provoquant une érection.

  • -Que fais-tu ? demanda soudainement Sandy, sortant de ses pensées.

Il lui sourit, et détacha sa ceinture de sécurité. La peau dénudée des cuisses proches de sa paume lui fit l’effet d’une décharge. Il pourrait si facilement lui débarrasser de tous ses vêtements … Il baissa le regard vers sa robe et la remonta doucement, admirant le petit tremblement des cuisses de sa Bien Aimée.

  • -Lolo … commença-t-elle dans un souffle, je vais me mouiller si tu continues …
  • -Je ne demande pas mieux … le coupa-t-il en se penchant pour l’embrasser à pleine bouche, en baissant de sa main libre le siège de la jeune femme.

Maintenant couchée, confuse, elle leva les yeux vers son voisin pour y lire de l’amusement, et un désir sans nom. La main gauche de Lorintzo, remonta encore sa robe, et sa paume glissa, à plat, sur son ventre et pressa fermement son entre-jambe palpitant.

Elle lâcha un soupir.

Son sexe se durcit.

Sa main se porta à la rencontre de sa peau nue. Dans la tiédeur des cuisses entrouvertes, ses doigts se heurtèrent à sa dentelle noire. D’un mouvement de bassin, elle arqua les reins, et s’enfonça profondément dans le siège. Tout en l’embrassant, Jacquet leva sa jambe et la posa sur le tableau de bord de sorte qu’il puisse accéder facilement à  sa fleur déjà humide.

Remontant ses mains de la nuque du jeune homme, Sandy l’attira à  elle pour l’embrasser.

  • -Lolo, Le gynécologue le saura …
  • -Tais-toi … répondit-il en lui mordant la lèvre inférieure.

Elle écarta les jambes, son genou frôla celui du conducteur. Tandis que Lorintzo pressait doucement mais fermement sa partie intime, lui arrachant des gémissements. De sa main gauche, Sandy tâtonnait vers la fermeture éclair du Jean de son Lolo. Il pivota vers la droite pour l’aider. Elle avait soulevé les fesses, et sa culotte glissa, dévoilant  la petite touffe de poils noirs posée sur son pubis parsemé de grains de beauté. Lorintzo étala sa paume sur le ventre plat, le majeur pointant vers sa fente.  Il ouvrit les grandes lèvres, et glissa doucement le bout du doigt pour constater la très grande humidité de sa fleur. Déjà, une fine ligne de liquide glissa vers la raie de ses fesses

  • -J’adore quand tu mouilles ainsi … li avoua-t-il entre deux baisers.

Au même moment, la fermeture éclair de son jean glissa pour laisser la fine main féminine de Sandy s’emparer de son membre entre deux gémissements. Sa main se referma sur sa verge et la sortit de sa cage déjà trop petite. C’était à son tour de trembler lorsque ses longs doigts glissèrent sur son gland.

Il tendit son autre main et passa la robe au-dessus de la tête de Sandy, lui dégrafant au passage le soutien, libérant son sein gauche qu’il prit à pleine bouche.

La tête de Sandy valsa à l’arrière libérant un long gémissement étouffé.

  • -Putain, Lolo … souffla-t-elle sensuellement.

Il sourit et mordit doucement de ses lèvres le petit téton durcit, arrachant un énième gémissement à  la jeune femme.

De peur de jouir trop vite, Sandy s’activa sur le membre de son chéri qui grognait contre son sein et dont les doigts vénéraient son entre-jambe noyé sous sa cyprine. Son bouton durci glissait sous son majeur, tandis que deux autres doigts écartaient ses petites lèvres. Son compagnon saisit son autre sein de la bouche en même temps que sa petite main faisait de longs va et vient sur sa torche dressée. 

Sandy échappa un autre gémissement lorsque les doigts de Lorintzo remonta en une caresse humide jusqu’à son bouton.

  • -OOHH putain …vas-y doucement… gémit elle.

Son bassin ondulait contre la main de Jacquet, et ses tétons  se dressaient de désir.

Humidifiant sa main entre deux baisers, Sandy la glissa sur son gland arrachant un grognement rauque.

  • -Lentement Sandy … entendit-elle à mesure que sa main emprisonnait son membre tendu dans une étreinte humide, douce et répétée.

Leurs langues se trouvèrent tandis que leurs mains s’affairaient chacune sur le corps chaud de l’autre.

Parfois plus lentement, plus tendrement, puis plus vite et fermement. Ils s’efforçaient à  faire jouir l’autre. Mais Sandy savait pertinemment qu’elle ne pourrait pas rivaliser cette fois. Les doigts du jeune homme valsaient avec sa fleur, tandis que sa langue dessinait des arabesques sur son cou, lui arrachant des gémissements aigües et répétitifs.

Elle ondulait contre lui, et tout à coup, Lorintzo vit le corps de sa compagne se raidir et sa tête s’échapper brusquement à  l’arrière en un cri excitant. Une brusque contraction du bassin projeta ses pieds chaussés contre la planche de bord, frôlant la vitre. La main qui lui entourait la verge se referma subitement, et il s’abandonna à cette vague qui déferla en lui quand son Yaourt glissa le long de la main de Sandy.

Il s’était laissé  retomber contre le dossier. Sa paume s’attardant sur la vulve inondée de Sandy, immobile. Reprenant son souffle, Il la contempla à ses côtés.

  • -Tu me rends complétement fou …
  • -Embrasse-moi répondit elle, se redressant.

Il ne se fit pas prier et prit rageusement ses lèvres.

Pour ensuite admirer Sandy lécher sa semence sur sa main.

  • -Oh Mon Dieu … Si tu mets encore la langue dehors je te jure que je te balancerai sur le siège arrière et te laperai jusqu’à l’évanouissement …

Sur le point de répondre, Sandy entendit quelqu’un frapper à  la vitre du conducteur.

  • -Et Merde ! jura-t-elle en se rhabillant plus vite que l’éclair. Attends que je m’arrange avant d’ouvrir Chéri.

Lorintzo s’arrangea tout en riant.

Le gardien ne s’apercevant de rien, voulait que Lorintzo déplace la voiture pour qu’une autre puisse sortir.

  • -Calme-toi Chérie, voici ton médecin qui rentre à l’instant. Sortons, dit-il en ouvrant sa portière.

 Contournant la voiture, il ouvrit à Sandy qui avait du mal à se mettre sur pieds.

  • -Qu’est ce qui t’arrive ? continue Lorintzo tout sourire.
  • -Je ne crois pas que je vais pouvoir marcher jusqu’à la salle, je me suis trop mouillée, je n’ai pas eu le temps de m’essuyer et …
  • -Putain, Epouse moi maintenant et je te …
  • -Tais-toi Lolo, je suis sérieuse ! boude-t-elle, gênée.
  • -Tu es belle comme ça … dit-il en passant ses mains sur ses cheveux défaits.

En un rien de temps, Lorintzo passa son bras sous ses fesses et la souleva de terre.

  • -Tu ne comptes tout de même pas me porter, gros pervers ? S’étonna-t-elle, amusée.
  • -On dira que tu as une entorse … maintenant contente toi de sourire en passant devant les gens. Continue-t-il.

Tout sourire, ils atteignirent la salle. Il la déposa sur la chaise en attendant que le médecin ne rentre les rejoindre.

  • -Bonjour les jeunes salua le vieux barbu, attendez-moi là quelques minutes, j’ai quelques papiers à signer pour une réunion. Je ne serai pas long, je dirai à Margareth de vous servir un peu de café.
  • -D’accord. répondirent ils presqu’à l’unisson.

Lorintzo prit place sur la chaise voisine en attendant le café qui ne tarda pas à arriver. Margareth fut très charmante, et s’assura qu’ils ne manquaient de rien.

Finissant son cup, Lorintzo se leva et verrouilla la porte.

  • -Sandy, lève-toi !

Cette dernière sirotant son café et ne vit pas le geste de son compagnon. Celui-ci la prit par la taille, lui forçant à déposer son cup et l’allongea sur la chaise longue du médecin et mit chacune de ses chevilles sur la tige de chaque côté de la chaise.

Il se débarrassa de sa dentelle et la mit dans sa poche.

  • -Oh Lorintzo, ne fais pas ça je t’en prie, il va revenir d’un moment à l’autre !
  • -J’ai verrouillé ! contente-toi de ne pas faire de bruit, dit-il en mettant sa culotte dans sa bouche.

Priant intérieurement que tout ceci ne lui apporte pas d’ennuis, Sandy garda cependant les genoux levés, cuisses écartées, la robe remontant jusqu’à son nombril. L’ourlet rabattu dévoilait la peau délicate de son ventre et les grains de beauté de son pubis. Abaissant la tête, Lorintzo découvrit le sexe dégoulinant, offert. Ses pétales s’ouvraient sur une chair rose.

 Il sentit son désir décupler par le flagrant spectacle.

Les yeux de Sandy brillaient lorsque sa bouche s’abaissa à sa rencontre. Dans un abandon sensuel, Sandy se cambra au doux toucher des lèvres, remontant en une caresse chaude, humide. Elle plaqua des deux mains la tête de Lorintzo contre elle, et ondula contre sa langue qui la lapait. Elle laissait échapper des gémissements étouffés par sa dentelle qui siégeait encore dans sa bouche. Tout à coup, la bouche de son chéri l’aspira entièrement, elle crut mourir sous tant de plaisir. Il la mangeait de ses lèvres et de sa langue, et elle peinait à maitriser son plaisir lorsque les deux mains de Lolo souleva ses fesses et l’attira fermement à lui de sorte qu’il eut accès à toute sa personne palpitante.

Entre les coups de reins répétés, et la langue de Lorintzo, elle jouit en lui gratifiant de son vin qui coula de la bouche de son compagnon à son cou.

Se relevant, indifférent aux griffures de sa nuque, Lorintzo n’entendit pas la clé qui ouvrait la porte de l’extérieur.

  • -Hé bien, on dirait que l’auscultation a été bien faite ! fit une voix amusée, pénétrant dans la pièce.

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[1] Une voiture Honda. Le sigle CR-V peut prendre des significations différentes selon le marché sur lequel le véhicule est vendu.

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3 commentaires
  1. […] Lire également>>Chez le Gynécologue […]

  2. #MNS INSPIRATION dit

    La sensualité partout et en tout. J’adore.

  3. Keny dit

    Sensuellement intrinsèque

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