Djane Süleyman

La cadette d'une famille de deux enfants, Fedjanie Soliman naquît, à Port-au-Prince, le 4 janvier 1999. Dès sa naissance, sa vie est tout un miracle, tenant compte de certaines prédictions qui ne lui prêtaient pas vie avant son accouchement. Mais, contre toutes, elle y est, pour le comble du bonheur de ses parents. Ces derniers s'entendent pour communier leur nom à celui de leur petite fille. "Fed" de sa mère et "Janie" qu'elle tient de son père. Aujourd'hui, la voilà, étudiante en sciences comptables à l'IHECE.

Fedjanie Soliman développe une passion pour la peinture, le dessin ainsi que la musique, plus particulièrement celle des années 80 à 90 qui l’interpelle beaucoup plus. Toutefois, s'il y a bien quelque chose qui doit l'intéresser par-dessus tout, elle tirerait du lot l'écriture de poème. On comprendra donc pourquoi le nom du célèbre poète Pablo Neruda se répète, une fois, pour le mentionner comme un écrivain mentor dont elle adore les écrits et une seconde fois, le citer parmi Gary Victor, Margareth Papillon, Danielle Steel, Agatha Christie, ceux-là étant des écrivains en qui elle se retrouve assez parfaitement.
La poésie, son genre préféré, Fedjanie croit avant tout que l'écrivain est un rêveur. Il nous vend le rêve, l'espoir et surtout l'amour… Écrire est une opportunité de vivre la vie que l'on veut, de créer son propre personnage, et d'oser là où peu s'y attarde.
Son expérience avec la PergolAyiti sera des plus particulières. " J'ai vécu des trucs extraordinaires qui m'ont permis de me surpasser et de repousser mes limites. J'aime la Pergola. Cela a été une très bonne initiative. "