
Tout a commencé avec la douceur de ta voix
J’ai senti ce frisson, là où tu me caresses jusqu’en bas du dos
Et si n’avais-tu pas eu cette fluidité magnifique qui me zigzague le cœur?
Au début, tous les petits gestes étaient indiscernables
À tour de rôle, on se faisait le plaisir de commenter les statuts
Et si nous étions nous uniquement contentés d’agir qu’avec nos yeux?
Les jours s’en vont pareils
Tu remplis mon répertoire
Des musiques plus envoûtantes que les autres
Et si n’y avait-il pas eu cette option de partager ces tubes?
Le premier jour de notre rencontre est marqué par cette petite phrase “(…)”.
Bon sang! Pas de panique! Ne t’en fais pas!
C’est notre petit secret quand même…
Je me rappelle de tes yeux poétiquement comparés aux reflets du soleil, de ta bouche à la douceur du “bonbon siwo”.
Tu étais si attentionnée, j’étais comme un bébé
Et si tout ça n’était qu’un piège?
Et si n’y avait-il pas eu une quelconque existence de toi sur cette terre?
Je t’ai ramené à moi le plus subtilement que possible
Et de là, j’ai commencé à sentir cette vague qui ne saurait être plus intense que l’amour
Et si n’avais-je pas eu cette ingéniosité ?
Et si vraiment, tout cela n’existait pas?
À coup sûr le destin Nous aurait répondu
Cette envie que nos regards, nos chemins se croisent,
Le déclenchement de ce virus contagieux
Aurait tout fait pour nous lier l’un à l’autre…
Jean Loobentz César
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Kout gigit de Loo??