Le temps d’un battement d’ krèk
Le temps d’un léger coup d’ foudre entre la pesanteur,
Et cette goutte de sueur miel,
Suspendue en parachutiste solitaire
Aux rebords de ton foutre ciel
Avé Maria. Avé… Ma reine.
Puisse ton soleil consumer mon pavé. Amen.
Le temps d’une dernière vengeance de tes ongles sur ma peau… Krip !
D’un dernier claquement de ta paire de fesse m’applaudissant… Klak !
Tes reins
Félins
Fébriles
Frémissent
Au sentir
De l’orgasme
Vagabond
Menaçant
Subtilement
De poindre…
Le temps que la lueur vacillante du tèt gridap se meurt
Qu’elle nous voit faire et qu’elle se pende
Et qu’elle s’enterre
Et qu’elle pourrisse
Et qu’elle n’en puisse plus de pourrir
Qu’elle ressuscite
Car tes plaintes
Tes reins
Tes alsiyus
À faire bander les anges
Auraient
Secoué
Les portes
De mille
Enfers
Éternels
Avé Maria. Avé… Ma reine.
Puisse ton soleil consumer mon pavé. Amen.
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Winter B.
Putain??
??
Beau texte*.
Merci ?
Je lève mon verre à cette expertise de l’art qui se manifeste à travers l’architecture de ton texte. Merveilleux.