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Auteur
Ludwing Ashley Georges
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Georges Ludwing Ashley dit Georges-H est né le 15 Décembre 1997 à Port-au-Prince, il grandit avec son père et sa mère jusqu’au jour où un petit être apparut dans leur vie. En 2007, il perdit son père pour leur plus grand malheur, depuis lors il vit avec sa mère et sa petite sœur. Il a fait ses études classiques à l'Institution Saint Louis de Gonzague et projette d'étudier l'électromécanique à la Faculté des Sciences de l’UEH.
Georges-H aime lire et écrire mais il a eu un coup de foudre pour l’écriture depuis sa jeune enfance. D’ailleurs, si on lui proposait d’aller à une bibliothèque pour renifler une énième fois l’air singulier des bouquins et écrire un petit texte, il aurait choisi la deuxième option sans hésiter.
En dehors des romans policiers, des thrillers et les sciences fictions, Georges-H aime écouter la musique et bricoler des vieux objets électroniques. Mais depuis une période non définie, il eut un coup de cœur pour les autobus. Il aime tout ce qui a trait à ce dernier mais ne sait ni comment ni pourquoi.
Georges-H a commencé à écrire depuis son jeune âge, plus précisément depuis la 5e année ou il participa à un concours de texte intra scolaire dont il reçut la 2e place. Depuis cet évènement mémorable, il continua à écrire d’autres textes qu’ils montraient à ses parents et à ses amis.
En quête d’un style propre à lui, il commença tout d’abord avec la poésie qu’il liait au slam puis se tourna vers les romans policiers. Au début, il s’inspirait des romans policiers d’Agatha Christie qui fut une référence en ce qui concerne ces genres de romans avec son personnage Hercule Poirot mais depuis un certain temps son intérêt se porte vers Nora Roberts, une auteure qu’il connut grâce à sa petite sœur. Malgré son jeune âge, il n’a pas eu d’écrivain mentor, il lit et ses idées le viennent à chaque fois.
Pour concrétiser ses rêves, que pour l’écriture, ou les autobus, il en parle à ses proches qui l’encouragent à croire en ses objectifs. D’ailleurs son bonheur s’enflamme en voyant ses nombreux travails réalisés avec sa carrière d’écrivain qui pour lui est un leader, un messager, un modèle pour la communauté, un individu qui a la possibilité d’aider les autres à ouvrir leurs yeux sur de nouveaux horizons, voire des horizons insoupçonnés.
La vie de Georges se tourne autour d’un petit mot « merci ». Il dit que c’est sa citation favorite. Parce que depuis l’enfance, on lui a appris à remercier les autres car cela augmenterait sa vie d’une année. « Ma citation, je ne suis même pas sûr qu'elle soit formulée ainsi, a-t-il dit, mais : Tout ce qui arrive, c'est pour une bonne cause. Une citation que je dois l'avouer, ne pas encore saisir le vrai sens. Au premier abord, on a toujours tendance à considérer son côté fataliste, comme quoi, si quelqu'un avait une tâche à accomplir et ne l'accomplit pas, comme conséquence, il se fait licencier de son travail ou autre, la faute revient à cette personne et qu'elle assume les retournées de ses inactions. Et de là, en supposant que ce quelqu'un prenne conscience de ce qui lui arrive, on peut espérer un changement d'attitude ou de comportement pour le futur. Il aura donc tiré une leçon. Mais, j'aime aussi considérer une autre facette de cette citation. Le côté assez optimiste. On n’a pas à se plaindre d'une mauvaise journée ou d'un échec. Tout le monde en a. Le mieux à faire, c'est soit de se dire que derrière tout ça, il y a bien mieux, soit d'analyser la situation et d'essayer de tirer parti des opportunités offertes. Oui, parce qu'il y en a toujours. » Depuis cette période, il remercie toujours les autres pour leurs bienfaits apportés dans sa vie.
En 2017, Georges a intégré le Collectif Pergola suite à la publication d’une de ses histoires sur wattpad qui a frappé l’un des administrateurs qui l’a invité à rejoindre le collectif par la suite. C’était pour lui un nouveau pas, il allait être entouré des gens qui lui ressemblaient, devant lui se tenait une nouvelle famille. « J'ai toujours connu les membres de ce groupe respectueux l'un envers l'autre a-t-il dit. Accueillants et aimables, mais je ne peux pas dire que c'est un groupe au sein duquel j'ai toujours été actif. Je dirais même pas du tout. Enfin, la faute à moi ou à mon comportement de "timide". » Il ajoute : « Mon plus grand souhait pour Pergola est que le projet se fasse entendre et savoir de partout dans le monde. Après tout, c'est un groupe rempli de potentiel. Il y a de quoi en être fier. »