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Mademoiselle Erotik #2

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Mes petites culottes, je les choisis et les achète avec soin. Selon mes vêtements, il est important et même impératif pour moi qu’elles soient invisibles sous ce que je porte. Ou encore… Selon l’amant que je vais voir.

Tiens par exemple, je sais que Georges adore les strings. Ça ne cache pas beaucoup de choses et pas vraiment besoin de les enlever pour passer à l’acte. En levrette, il suffit juste de tirer un peu à gauche ou à droite et hop ! On est dans le bon trou. Il arrive que ce soit le mauvais, mais bon je ne vais pas rentrer dans les détails. Pas pour le moment en tout cas.

À l’opposé de Georges, Marc aime bien celles-là qui cachent bien les choses. Ça lui donne l’impression de partir à une chasse au trésor. Et quel trésor ! Je ne vous raconte même pas combien il est mouillé quand il le sort enfin de son coffret.

Frédéric lui, aime juste quand je n’en porte pas. Bon… Il est vrai qu’elles finissent toujours par être retirées. Mais j’aime bien me les enlever ou me les faire enlever avec douceur ou de force. Et ce que j’aime par-dessus tout, c’est quand elles se frottent contre mon clitoris m’excitant toute la journée alors que je suis au bureau.

Des petites culottes, j’en ai des tas et de toutes les couleurs possibles, mais surtout des rouges. Les hommes adorent. Et des souvenirs, j’en ai pour chacune d’entre elles. Il y a ce string rouge que Georges garde dans son taie d’oreiller. Je me rappelle encore la façon dont il m’a dit qu’il le garderait. Il venait de me faire jouir sur la table de sa salle-à-manger avec un doigt et sa langue à l’appui. Il m’avoue le sentir quand je lui manque.

Il y a aussi celle-là toute en dentelle dans mon deuxième tiroir. Je la portais ce jour où Jude m’avait pris en levrette contre le lavabo de ma salle de bain. Il me tenait fermement par les hanches et entrait en moi avec force me signifiant que j’étais sa possession. Il me donnait une fessée à chaque va-et-vient. Je tremble encore de l’orgasme que j’en ai eu.

  • Vanessa à quoi tu penses ? questionne Frédéric m’éjectant de mes pensées.

Il défaisait la boucle de sa ceinture.

  • À rien, je réponds en lui faisant mon habituel clin d’œil. Où en étions-nous ?
  • Je te disais à quel point tu maîtrises bien l’art de faire une pipe.
  • Ah ! Et bien laisse-moi te donner d’autres raisons de le penser, dis-je en commençant par branler lentement sa belle queue…

Envoyez-nous vos textes, faîtes partie de l'aventure Pergolayiti

2 commentaires
  1. […] Lisez aussi>>Mademoiselle Erotik #2 […]

  2. Chamerline dit

    Je kiffe trop , je hâte de tout
    lire

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