Pradley Vardly Vixama

Pradley Vardly Vixama, de son nom de plume, Pradley, a vu le jour le 10 janvier 1994 à Port-au-Prince. Il est le cadet d’une famille de trois enfants. Il a deux sœurs, dont il se plait à les appeler ses « protégées ». Son père est comptable et prédicateur d’église protestante, sa mère est secrétaire de formation puis par la suite commerçante. Une femme intransigeante mais tellement compréhensive. « J’ai grandi dans un matriarcat », s’amuse-t-il souvent à dire. Pradley a fait des études en Travail Social.
La lecture, l’écriture, les jeux vidéos ainsi que le dialogue sont les hobbies de Pradley. Il avoue effectivement avoir une grande passion pour les conversations. « J’aime entendre ce que les gens ont à dire. ». L’écriture demeure cependant sa plus grande passion. « Je me suis remis à écrire à mes vingt ans, et depuis, je construis ma vie autour des mots. »
Le roman est son genre littéraire préféré, mais explique-t-il, Pergolayiti lui a permis d’aimer encore plus la nouvelle. Ses écrivains préférés sont : Jacques Stephen Alexis – Pour son sens du détail et de la description, pour son engagement socio-politique également, Barbara Wood, pour son imagination débordante et sa capacité à faire rêver ses lecteurs, Marc Levy, pour avoir montré à tout le monde que la littérature pouvait être un exercice cool. Le mec ne se prend pas du tout la tête et raconte tout simplement des histoires. Il avoue ne pas avoir d’écrivains mentors, mais son inspiration est alimentée par les écrits des auteurs comme J.S Alexis, Guy des Cars, Guillaume Musso, Paulo Coelho, Barbara Wood, James Patterson, Marc Levy, etc.
En 2016, il crée avec Eder Apollinaris Simphat Pergolayiti. Ce qui au début était un simple passe-temps est devenu au fil du temps un élégant projet. « D’autres jeunes écrivains nous ont rejoint. Nous sommes assez nombreux aujourd’hui et nous voulons créer quelque chose de pérenne. »